Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86 400 euros.Simplement, il y a deux règles à respecter.
Première règle : tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé le soir. Vous ne pouvez pas tricher, ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, ne pouvez que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque vous ouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86 400 euros pour la journée.
Deuxième règle : La banque peut interrompre ce "jeu" sans préavis ; à n'importe quel moment elle peut vous dire que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autre.
Que feriez-vous ? Vous dépenseriez chaque euro à vous faire plaisir, et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez. Vous feriez en sorte d'utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent, n ’est-ce pas ?
Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps !
Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir, il n'y a pas de report. Ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer. Chaque matin, cette magie recommence. Nous jouons avec cette règle incontournable : la banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment, sans aucun préavis ; à tout moment, la vie peut s'arrêter. Alors que faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ?
La vie est courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue …
Souvent associé au recueil Les Mille et Une Nuits, Aladin et la Lampe merveilleuse ne fait cependant pas partie des manuscrits originaux, contrairement à une idée largement répandue. Il s'agit en réalité d'un ajout tardif, artificiel. Il en est de même pour les histoires de Sinbad et d'Ali Baba et les quarante voleurs. Cette nouvelle mouture élargie des Mille et une nuits sera largement diffusée au 18 ème siècle notamment avec la version d'Antoine Galland.
Cette expression qui apparaît déjà au 8 e siècle, dans le 'Roman de la rose', s'emploie en général avec le verbe construire ou bâtir.
Etienne Pasquier, au 17 e siècle explique que vouloir chercher des châteaux en Espagne était quelque chose de vain, car il n'y en avait pas, dans le seul but d'empêcher que les Maures, lors de leurs incursions, n'en trouvent et n'en profitent pour s'installer à demeure.
Mais d'anciennes variantes de l'expression parlant de châteaux en Brie, de châteaux en Asie ou même au Caire, laissent supposer que les châteaux en question, où qu'ils soient situés, désignaient simplement des endroits inaccessibles à la fois par leurs défenses et par leur éloignement.
Vouloir entrer dans un de ces lieux inaccessibles, c'était bien se lancer dans des projets irréalisables.
Il ne reste plus qu'à trouver pourquoi ce sont ceux d'Espagne, qui sont restés dans l'usage de l'expression.
Mais existe-t-il réellement des projets irréalisables ? Comme l'a écrit Pagnol : "Tout le monde savait que c'était impossible. Un imbécile est venu qui ne le savait pas. Et il l'a fait."
Les années défilent et il ne reste plus que l'ombre de ce que nous étions. Quand on peut vieillir sans problème c'est déjà bien, mais parfois d'autres évenements nous aident bien contre notre gré à devenir encore plus rapidement cette ombre de nous même et il ne nous reste plus que la nostalgie et le souvenir.
Fondé en 1967 par Edgar Froese, le groupe subit plusieurs changements de personnel au fil des années. Froese est le seul membre constant. Le musicien Conrad Schnitzler ou encore le batteur et compositeur Klaus Schulze sont des membres d'une des premières formations. Les compositions du groupe les plus marquantes et influentes sont les suivantes, pour les années 70, Edgar Froese, Christoph Franke et Peter Baumann et pour les années 80, le trio de claviéristes Froese, Christoph Franke dit aujourd’hui Christopher Franke et Johannes Schmoelling.
Le groupe Tangerine Dream a publié plus d'une centaine d'albums (sans même compter les singles, compilations, bootlegs et autres types de disques).
La musique actuelle de mon blog est extraite de l’album « Encore » du groupe Tangerine Dream enregistré en public lors de sa tournée en Amérique du Nord en 1977.