En 1938 est créée la Fédération Nationale des Œuvres Laïques de Vacances d’Enfants et d’Adolescents FNOLVEA à l'initiative de Georges Lapierre secrétaire général adjoint du Syndicat National des Instituteurs, encouragé par Jean Zay et Léo Lagrange. Réjoignent cette fédération plusieurs associations issues du monde syndical et des mouvements laïcs, dont la Ligue Française de l'Enseignement, La Fédération des Pupilles de l'Enseignement Public, la Confédération générale du travail.
À partir de 1939, une collecte est organisée sous la forme de vente de timbres et de cartes. Les premiers timbres sont dessinés par Francisque Poulbot.
La FNOLVEA est dissoute temporairement pendant l'occupation et le régime de Vichy. Elle renaît en 1945. La campagne de vente de timbres est relancée en 1947 sous le nom de «Jeunesse au Plein Air».
En 1949, l'association adopte le nom de Jeunesse au Plein Air.
La ferme de Joseph est située dans une combe. Une combe habillée de vigne, d'arbres fruitiers et de verdure. Depuis plus de 80 ans il habite dans la campagne et c'est un grand-papa accueillant, ouvert et généreux.
Juste un peu plus haut une autre ferme ...Aujourd'hui elle a les volets clos car la fermière a dû quitter l'endroit pour raison de santé.
Joseph alors c'est soucié du chat resté seul dans la grande maison et chaque matin il fait plus d'un kilomètre pour lui porter à manger. Avec joie le chat a accueilli cette démarche.
Pour témoigner son attachement le chat raccompagne Joseph en trottinant près de lui jusque à "La Croix", c'est à quelques mètres de la maison. Le chat s'arrête toujours au même endroit puis retourne chez lui pour manger le menu déposé dans l'assiette.
Joseph ne manquerait pour rien au monde sa promenade matinale, une belle façon de commencer la journée en visitant son ami le chat qui sait lui témoigner de la reconnaissance.
Origine : Un larron étant, selon Littré, "celui qui commet un larcin, qui dérobe furtivement", l'expression "s'entendre comme larrons" (version du 16e siècle) désignait des compères qui s'entendaient pour préparer un mauvais coup.
C'est au 17e siècle que la "foire" est ajoutée. Bien entendu, il ne s'agit pas d'une foire du genre de celle du Trône, avec manèges et barbe à papa à foison, mais de ces foires qui désignent de grands marchés publics où toutes sortes d'articles sont présentés et mis en vente. Le genre de lieu où les mauvais coups au détriment aussi bien des marchands que des visiteurs peuvent être faciles à perpétrer.
Dans cette expression, la notion de "brigand" associée à "larron" s'est peu à peu perdue, et, si on l'emploie aujourd'hui facilement pour désigner deux gamins qui s'entendent si bien qu'on imagine qu'ils pourraient très bien faire des bêtises ensemble, elle peut aussi simplement désigner des gens qui s'entendent à merveille, sans autre connotation.