Telle qu'elle est proposée ici et avec un sens proche, cette expression n'est attestée que depuis 1832, chez Victor Hugo, dans Notre-Dame de Paris où elle signifiait d'abord "la totalité des parts".
Et pourtant, cela fait bien lontemps que le lion, vu comme le roi des animaux, le plus puissant et féroce, est considéré comme étant en droit de s'attribuer la plus grosse part d'un festin lors d'un partage (forcément peu équitable).
Sans remonter jusqu'à l'aube de l'humanité, il suffit de s'arrêter chez Jean de la Fontaine et son "la génisse, la chèvre, et la brebis, en société avec le lion" dans lequel ces quatre animaux, après avoir décidé de se partager à égalité "le gain et le dommage", capturent un cerf que le lion partage effectivement en quatre part ; mais juste après, ayant pris la première part, il dit :
« Elle doit être à moi, dit-il ; et la raison, C'est que je m'appelle Lion : A cela l'on n'a rien à dire. La seconde, par droit, me doit échoir encor : Ce droit, vous le savez, c'est le droit du plus fort Comme le plus vaillant, je prétends la troisième. Si quelqu'une de vous touche à la quatrième, Je l'étranglerai tout d'abord. »
Encore une fois, la loi du plus fort avait frappé !
La Compagnie des Chemins de fer du Midi est une ancienne compagnie privée de chemin de fer qui desservait la partie du sud-ouest de la France comprise entre la Garonne et les Pyrénées.
À l'époque, le territoire français était partagé entre 6 grandes compagnies ferroviaires, la Compagnie du Midi étant la seule n'ayant pas d'accès direct à la capitale.
En 1934, la compagnie du Midi fut absorbée par le Paris-Orléans pour constituer la compagnie du PO-Midi, laquelle fut intégrée dans la SNCF quatre ans plus tard. En 1934, son réseau représentait 4300 km de lignes.
Le 13 août 1961, les berlinois découvre avec stupéfaction leur ville divisée en deux par un réseau de barbelés. Cette décision prise la veille par le conseil des ministres de la RDA devait permettre officiellement d'endiguer l'exode de ses ressortissants vers la RFA. Mais elle cachait surtout des problèmes bien plus anciens liés au contexte international de l'époque, celui de la Guerre froide.
Un Mur sous haute surveillance : Le régime Est allemand peaufinera au cours des années l'amélioration de la surveillance du Mur. Si en 1961 et 1962, les fortifications ne représentent que 12 km de mur, en 1970, elles atteignent 155 km. Dès 1972, le mur est considéré comme infranchissable. Le nombre de miradors augmente, un second mur est édifié, renforcé par des pièges et surveillé par des rondes incessantes de Vopos et les points de passage entre l'Est et l'Ouest sont limités à deux, Checkpoint Charlie et celui à proximité de la gare de Friedrichstrasse. Les tentatives d'évasion ont donc été nombreuses. On estime à 5 043 le nombre de personnes à avoir réussi à franchir le Mur et à 239, le nombre de fugitifs à avoir été tués. Tunnels, voitures, bateaux, câbles métalliques, déguisements, les moyens pour passer le mur furent parfois des plus surprenant. L'évasion collective la plus spectaculaire reste quand même celle des 57 personnes qui creusèrent un tunnel sous les fortifications de la frontière. La pression populaire face à ce manque de liberté conduira à fissurer le régime soviétique.
La chute du Mur, premier pas vers la réunification : Plusieurs facteurs ont donc joué dans l'effondrement du Mur de Berlin. Tout commence vraiment à s'accélérer avec la visite de officielle en RFA de Mikhaïl Gorbatchev en mai 1987. Ce dernier mène une politique novatrice marquée par l'abandon de la doctrine Brejnev. Le 7 octobre, de nombreuses manifestations de protestations contre le régime ont lieu et les allemands demandent à Gorbatchev de leur venir en aide. Le 18 octobre 1989, Honecker est limogé et le 9 novembre 1989, le Conseil des ministres de la RDA décide l'ouverture du mur de Berlin et des frontières. Des milliers de Berlinois de l'est comme de l'ouest se regroupent autour du mur de la "honte" pour célébrer la fin de 28 années de séparation.
Nous sommes en 1960, à l'époque de la RTF. Les problèmes techniques de diffusion et les "trous" entre les émissions sont légion.
Afin d'animer un peu tous ces temps morts, la chaîne confie à Maurice Brunot la création d'un interlude, "le petit train rébus".
Ce petit train va ainsi parcourir la campagne verdoyante jusqu'en 1963, sur un thème musical plein de légèreté ("Endlessly") signé Clyde Otiset et Brook Benton et interprété par Marc Taynor et son orchestre.
Fin de la lampe à incandescence traditionnelle, inventée en 1879 par Joseph Swan et améliorée par les travaux de Thomas Edison, ces ampoules classiques à incandescence ne transforment que quelque 5 à 10 % de l'énergie qu'elles consomment en lumière, le reste ne produisant que de la chaleur. elles consomment beaucoup plus d'énergie que les nouveaux produits comme les lampes fluocompactes, les halogènes à basse consommation ou les diodes électroluminescentes.
Les nouvelles ampoules sont donc :
Plus chères.
Plus longues en durée de vie.
Plus économiques (environ 50 € par an pour un ménage).
Plus étudiées pour le réchauffement de la planète .
Mais on connait déjà les risques de ces ampoules pour la santé.
Alors que choisir?
De toutes façons dans peu de temps nous n'aurons plus le choix.