Les Bouches du Rhône de son vrai nom Bûcheronne (dÉpartement créé par une bûcheronne nommé "Du") sont un dÉpartement du sud de la France dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie :
Situé au bord de la Méditerranée, ce département vomit dans cette mer tous les objets que le Rhône a emporté avec lui en passant par Lyon. C’est pour cette raison qu’il s’appelle les Bouches du Rhône, en référence à cette partie de notre anatomie qui nous permet de vomir.
C'est l'un des 6 départements de la Provence.
Habitants ;
Boucheronibus Marseille se caractérise par une population cosmopolite qui donne à cette ville le caractêre qui à fait sa rénomée "intersidérale"
Économie :
Les Bouches du Rhône vivent essentiellement du tourisme estival et de la mafia marseillaise importée de Corse.
La Maffia marseillaise se compose principalement de maffieux marseillais d'origine italienne et de policiers d'origine corse, les maffieux corses ayant remarqué que la possession d'une carte tricolore leur permet d'exercer leur activité en se fatigant moins.
Expressions locales ;
• Aïe, les galets ca fait mal aux pieds putain con enculé !
• Eh putain, il va arrêter de tirer sur les gabians, Nan ?! Putain con enculé !
• Je m'en vais voir " Plus belle la vie " ! Putain con enculé !
• Aller ah ça me dégoute sérieux ! Putain con enculé !
• Oh mais sans déconner tia craqué sur ma vie ! Putain con enculé !
25 novembre, journée internationale de la femme battue.
En France, comme partour dans le monde, des femmes meurent presque tous les jours sous les coups de leur conjoint, mari, petit-ami, frère ou père...
Toujours en France, une femme sur 10 serait concernée par ce type de comportement et ce, contrairement à ce que beaucoup imaginent, dans tous les milieux sociaux.
Hélas, peu de femmes portent plainte suite à ces agissements et certaines estiment même que ça n'est pas grave allant jusqu'à trouver des excuses à leur agresseur.
Un numéro de téléphone unique, le 3919, permet aux femmes victimes de violences de se faire aider si elles le souhaitent ou tout au moins de se confier à qui les comprend.
Un homme captura un jour un serin. L’oiseau, si petit qu’il tenait dans la paume de sa main, tenta de négocier sa liberté en ces termes :
- Qu’attends-tu donc de moi ? dit-il. Je suis si petit, si maigre, je n’ai que la peau sur les os ! Rends-moi la liberté ! En échange, je te dirai trois vérités très utiles.
- Soit, dit l’homme. Mais comment pourrai-je savoir si tes vérités sont utiles pour moi ?
- C’est très simple, répondit le serin. Je te dirai la première vérité lorsque je serai encore dans ta main. Je te dirai la seconde lorsque je serai sur la branche de cet arbre ; ainsi, tu auras encore le pouvoir de me rattraper si cette vérité ne te convient pas. Enfin, je te dirai la troisième, la plus importante, lorsque je serai là-haut dans le ciel.
- D’accord, dit l’homme. Dis-moi la première vérité.
- La voici : si tu perds quelque chose, s’agirait-il de ta propre vie, tu ne dois pas le regretter.
Voilà une vérité profonde, pensa l’homme : le non-attachement aux formes extérieures, en effet, est le secret de la vraie liberté. Et il ouvrit la main. L’oiseau s’envola sur la branche, d’où il proféra sa deuxième vérité :
-Si on te raconte une absurdité, n’y crois sous aucun prétexte avant d’en avoir eu la preuve !
- Très bien, dit l’homme, tu es beaucoup plus sage que ne le laissait prévoir ton minuscule crâne d’oiseau : l’être humain, en effet, est naturellement attiré par le mensonge et l’illusion, nés de sa convoitise ! Mais quelle est donc la troisième vérité ?
- C’est, lui répondit le serin qui planait désormais dans les hauteurs du ciel, que j’ai dans l’estomac, deux diamants gros chacun comme un de tes poings. Si tu m’avais tué, ta fortune était faite !
Fou de rage, l’homme tenta de jeter des pierres au serin. Puis, s’accusant, maudissant sa stupidité, il se mit à pleurer sur son sort.
- Imbécile ! s’exclama l’oiseau. Je t’ai dit de ne jamais regretter aucune chose, et tu regrettes déjà de m’avoir libéré ! Je t’ai dit de ne jamais croire une absurdité, et tu m’as cru lorsque j’ai prétendu, moi qui tiens dans la paume de ta main, avoir avalé deux diamants gros comme tes poings ! En raison de ta convoitise et de ton aveuglement, tu ne pourras jamais voler dans le ciel comme moi !
Un jour, un fleuriste se rendit chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux.
Après sa coupe, il demanda combien il devait.
Le coiffeur répondit :
C'est gratuit, je fais du bénévolat cette semaine.
Le fleuriste s'en alla tout content. Le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une carte de remerciements et une douzaine de roses.
Plus tard, c'est le boulanger qui se présenta pour se faire couper les cheveux.
Quand il demanda pour payer, le coiffeur lui dit :
Je ne peux accepter d'argent : cette semaine, je fais du bénévolat.
Heureux, le boulanger s'en alla tout content, et le lendemain, déposa à la porte du coiffeur une douzaine de beignets, avec un mot de remerciements.
Puis, ce fut le député du département qui se présenta et lorsqu'il voulut payer, le coiffeur lui répondit :
Mais non, cette semaine c'est gratuit : je fais mon bénévolat.
Très heureux de cette aubaine, le député quitta la boutique.
Le lendemain, quand le coiffeur arriva pour ouvrir, une douzaine de membres du parlement attendaient en ligne pour se faire couper les cheveux gratuitement...
Voilà mes amis, la différence fondamentale entre les citoyens de ce pays et les politiciens qui nous gouvernent…