Vous qui pensez avoir beaucoup d’amis (es), faites un peu le point.
Il y a vos amis aisés qui n’ont pas à se forcer pour se faire remarquer, l’argent achète l’amitié ?
Il y a ceux qui au contraire se forcent pour essayer de vous avoir pour ami, pour pouvoir recevoir et être reçu ou critiquer un tel et dire du bien d’un autre.
Il y a enfin ceux qui ne disent rien, qui vous voient heureux et sont contents, qui vous sentent malheureux et qui accourent vers vous sans que vous les appeliez et qui repartent quand vous allez mieux.
Regardez autour de vous et dites moi combien de ces gens qui sont vos « amis » vous donneraient leur chemise ou vous accompagneraient quand vous êtes dans le besoin ?
Je pense que pour compter vos vrais amis une de vos mains suffit largement, même s’il vous manque quelques doigts.
Une dernière chose aussi, faut-il être l’ennemi de vos « ennemis » pour être votre ami, aimer ceux que vous adorez et détester ceux que vous haïssez ?
L’amitié n’est pas un mérite mais un sentiment partagé, comme l’'amour.
Telle qu'elle est proposée ici et avec un sens proche, cette expression n'est attestée que depuis 1832, chez Victor Hugo, dans Notre-Dame de Paris où elle signifiait d'abord "la totalité des parts".
Et pourtant, cela fait bien lontemps que le lion, vu comme le roi des animaux, le plus puissant et féroce, est considéré comme étant en droit de s'attribuer la plus grosse part d'un festin lors d'un partage (forcément peu équitable).
Sans remonter jusqu'à l'aube de l'humanité, il suffit de s'arrêter chez Jean de la Fontaine et son "la génisse, la chèvre, et la brebis, en société avec le lion" dans lequel ces quatre animaux, après avoir décidé de se partager à égalité "le gain et le dommage", capturent un cerf que le lion partage effectivement en quatre part ; mais juste après, ayant pris la première part, il dit :
« Elle doit être à moi, dit-il ; et la raison, C'est que je m'appelle Lion : A cela l'on n'a rien à dire. La seconde, par droit, me doit échoir encor : Ce droit, vous le savez, c'est le droit du plus fort Comme le plus vaillant, je prétends la troisième. Si quelqu'une de vous touche à la quatrième, Je l'étranglerai tout d'abord. »
Encore une fois, la loi du plus fort avait frappé !
Un vieux pêcheur à la retraite, malade et fatigué , habitait chez son fils , sa belle-fille et leur fils de 8 ans , comme c ’était la tradition en ce temps-là .
Les mains du vieil homme tremblaient et sa vue n’était pas tellement bonne non plus , ce qui rendait la tâche difficile quelquefois . Surtout à l’heure des repas , car tout comme un enfant , il y avait parfois un peu de nourriture sur le plancher, une assiette qui vole en éclats ou un verre de lait renversé sur la nappe .
Un matin la belle-fille dit à son mari :
- Il faut faire quelque chose avec ton père , je suis fatiguée de tout ramasser .
Alors on installa une petite table dans un coin de sa chambre et c’est là qu’il mangera à l’avenir, au moins pendant le repas , on aurait pas à subir ses maladresses et on lui trouva un petit bol en bois , ainsi plus de vaisselle cassée .
Quand arrivait l’heure des repas , le jeune garçon jetait un coup d’œil vers la chambre de son grand-père, des larmes roulaient sur sa joue et il regardait tout ça en silence .
Un soir avant le souper ,le père vit son fils qui s’amusait dans l’atelier.
- Que fais-tu là fiston ?
- Je fabrique un bol en bois pour toi et maman , pour quand vous serez trop vieux et maladroits pour manger à la table avec nous .
Le père fut incapable de dire un seul mot, on oublie trop souvent que nous aussi , nous vieillirons un jour, que faire… Et il n’a pu fermer l’œil de la nuit.
Le lendemain matin , en s’éveillant , il raconta toute l’histoire à son épouse et quand arriva l’heure du déjeuner , il prit son père par la main et le fit asseoir avec eux à la table et cette fois-ci , les larmes qui coulaient sur la joue de grand-père eh bien je crois que c’était des larmes de joie !
On est tous sur un navire qui nous mène vers notre destinée , à nous de hisser les voiles sur le bon côté du vent . Quand on laisse parler son cœur , pas besoin de choisir ses mots ni ses gestes, le cœur entend bien mieux que les oreilles.
Un baiser fait moins de bruit qu'un canon mais l'écho en dure plus longtemps.
(Oliver Wendell Holmes)
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Un baiser légal ne vaut jamais un baiser volé.
(Guy de Maupassant)
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Un baiser peut être une virgule, un point d´interrogation ou d'exclamation. Voici les points essentiels de la ponctuation que toute femme devrait connaître.
(Mistinguett)
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Un premier baiser, ça ne se raconte pas. Ça se vit et ça alimente les rêves et ça crée les premières insomnies.
(Marguerite Beaudry)
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Le baiser qu'on cueille est moins savoureux que celui que l'on imagine, et le désir vaut mieux que la conquête.