Sabotier : Dans les campagnes, tout le monde porte sabots, sauf parfois les enfants qui vont nu-pieds. Une situation qui va durer jusqu’au milieu du 20 ème siècle, il n’y a pas si longtemps... Le mértier de sabotier reste pourtant un métier de pauvre, que l’on pratique en forêêtt et qui nourrit mal.
Sabots de fête : Les artisans sont les maîtres de l’ornementation des sabots. Mais les paysans déccorent aussi leurs sabots de fête au cours des longues veilléees d’hiver, une tradition particulièrement vivace dans les régions de montagne. On y dessine souvent des motifs géométriques et on passe le bois au brou de noix pour le colorer et en masquer les imperfections...
En 1850, les autorités religieuses lancent un concours pour la réalisation d’une statue, envisagée comme un signal religieux au sommet de la colline de Fourvière. Un an plus tard, ce concours est remporté par le sculpteur lyonnais Fabisch, et la date du 8 septembre 1852 est choisie pour son inauguration. Mais au mois d’août, la Saône sort de son lit et envahit le chantier où la statue doit être réalisée.
L’inauguration est donc reportée au 8 décembre, fête de l’immaculée conception. Le jour même, les journaux annoncent le programme de la soirée et toute la ville se prépare pour l’événement. Quelques uns prévoient même d’illuminer les façades de leurs habitations à l’aide de bougies. Mais le mauvais temps va à nouveau contrarier les réjouissances, contraignant les autorités religieuses à remettre l’inauguration au 12 décembre. Malgré ce contrordre, l’enthousiasme des Lyonnais ne fut pas éteint....
En 1938 est créée la Fédération Nationale des Œuvres Laïques de Vacances d’Enfants et d’Adolescents FNOLVEA à l'initiative de Georges Lapierre secrétaire général adjoint du Syndicat National des Instituteurs, encouragé par Jean Zay et Léo Lagrange. Réjoignent cette fédération plusieurs associations issues du monde syndical et des mouvements laïcs, dont la Ligue Française de l'Enseignement, La Fédération des Pupilles de l'Enseignement Public, la Confédération générale du travail.
À partir de 1939, une collecte est organisée sous la forme de vente de timbres et de cartes. Les premiers timbres sont dessinés par Francisque Poulbot.
La FNOLVEA est dissoute temporairement pendant l'occupation et le régime de Vichy. Elle renaît en 1945. La campagne de vente de timbres est relancée en 1947 sous le nom de «Jeunesse au Plein Air».
En 1949, l'association adopte le nom de Jeunesse au Plein Air.
Origine : Un larron étant, selon Littré, "celui qui commet un larcin, qui dérobe furtivement", l'expression "s'entendre comme larrons" (version du 16e siècle) désignait des compères qui s'entendaient pour préparer un mauvais coup.
C'est au 17e siècle que la "foire" est ajoutée. Bien entendu, il ne s'agit pas d'une foire du genre de celle du Trône, avec manèges et barbe à papa à foison, mais de ces foires qui désignent de grands marchés publics où toutes sortes d'articles sont présentés et mis en vente. Le genre de lieu où les mauvais coups au détriment aussi bien des marchands que des visiteurs peuvent être faciles à perpétrer.
Dans cette expression, la notion de "brigand" associée à "larron" s'est peu à peu perdue, et, si on l'emploie aujourd'hui facilement pour désigner deux gamins qui s'entendent si bien qu'on imagine qu'ils pourraient très bien faire des bêtises ensemble, elle peut aussi simplement désigner des gens qui s'entendent à merveille, sans autre connotation.
L'invention, en 1949, de la Mobylette reviendra à Eric Jaulmes, directeur technique depuis 1941 et Charles Benoît, fondateur et dirigeant de Motobécane. Déjà quelques années avant, l'ingénieur Marcel Morel de chez Monet-Goyon avait fait une étude sur un cyclomoteur de 49 cm³ qui ne sera pas retenu par sa direction. Le premier modèle sera vendu sous l'appellation « mobylette Av3 », c'est devenu, avec le Vélosolex, un deux-roues populaire en France, des années 1960 aux années 1990.
Pendant un temps, Motobécane fut le plus gros producteur de deux-roues motorisés du monde grâce à ce modèle. Ses surnoms sont multiples, tels que « brêle », « meule », « bilette », « pétrolette », « tasse à café », « chiotte » et surtout « mob ».
Il est bien arrivé et a fait bon voyage, bien emballé dans son petit carton, il est encore plus beau que sur la photo.
C’est trop sympa Chantoune, vraiment je ne sais comment te remercier, je vais y réfléchir car ça me touche beaucoup, je suis très ému.
Je vais le faire dormir près de moi, comme les enfants avec leur doudou, mais quelque part je suis encore un enfant, comme beaucoup d’entre nous je pense et c’est bien ainsi. Tu as également les remerciements de Lili (super).
Mille merci à ma couturière préférée et mille Gros Bisous .
Le 13 août 1961, les berlinois découvre avec stupéfaction leur ville divisée en deux par un réseau de barbelés. Cette décision prise la veille par le conseil des ministres de la RDA devait permettre officiellement d'endiguer l'exode de ses ressortissants vers la RFA. Mais elle cachait surtout des problèmes bien plus anciens liés au contexte international de l'époque, celui de la Guerre froide.
Un Mur sous haute surveillance : Le régime Est allemand peaufinera au cours des années l'amélioration de la surveillance du Mur. Si en 1961 et 1962, les fortifications ne représentent que 12 km de mur, en 1970, elles atteignent 155 km. Dès 1972, le mur est considéré comme infranchissable. Le nombre de miradors augmente, un second mur est édifié, renforcé par des pièges et surveillé par des rondes incessantes de Vopos et les points de passage entre l'Est et l'Ouest sont limités à deux, Checkpoint Charlie et celui à proximité de la gare de Friedrichstrasse. Les tentatives d'évasion ont donc été nombreuses. On estime à 5 043 le nombre de personnes à avoir réussi à franchir le Mur et à 239, le nombre de fugitifs à avoir été tués. Tunnels, voitures, bateaux, câbles métalliques, déguisements, les moyens pour passer le mur furent parfois des plus surprenant. L'évasion collective la plus spectaculaire reste quand même celle des 57 personnes qui creusèrent un tunnel sous les fortifications de la frontière. La pression populaire face à ce manque de liberté conduira à fissurer le régime soviétique.
La chute du Mur, premier pas vers la réunification : Plusieurs facteurs ont donc joué dans l'effondrement du Mur de Berlin. Tout commence vraiment à s'accélérer avec la visite de officielle en RFA de Mikhaïl Gorbatchev en mai 1987. Ce dernier mène une politique novatrice marquée par l'abandon de la doctrine Brejnev. Le 7 octobre, de nombreuses manifestations de protestations contre le régime ont lieu et les allemands demandent à Gorbatchev de leur venir en aide. Le 18 octobre 1989, Honecker est limogé et le 9 novembre 1989, le Conseil des ministres de la RDA décide l'ouverture du mur de Berlin et des frontières. Des milliers de Berlinois de l'est comme de l'ouest se regroupent autour du mur de la "honte" pour célébrer la fin de 28 années de séparation.