• Notes : mandarine, citron, bergamote, bois de rose, cannelle, œillet, patchouli, bois de cèdre, vanille, cuir, ambre.
• Type : eau de toilette et eau de parfum
• Format : 100ml
• Prix : entre 65 et 90 €
Habit Rouge de Guerlain est un parfum très prisé et ce depuis sa création en 1965. Bien que quadragénaire, cette fragrance a particulièrement bien vieillie et est considérée comme un classique du genre. Les Guerlain se passionnent depuis plusieurs générations pour les chevaux et Habit Rouge en est le témoin silencieux, mais odorant. Des effluves de cuir, de terre, de mousse et de forêt assaillent l’odorat de qui le respire. Des notes de vanille, d’ambre, d’œillet et de cannelle viennent corsées la fragrance pour en faire un composé riche et capiteux. Habit Rouge est un symbole d’élégance, Guerlain ayant été le parfumeur de la reine de Belgique, les parfums marqués de ce sceau sont synonymes de classe, de raffinement et de bon goût.
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J'en ai bientôt plus, alors à votre bon coeur, si vous voulez me faire un cadeau ne vous gênez pas, je vous donnerais mon adresse pour me l'envoyer, juste l'eau de toilette pas le parfum.
Un jour de l'été 1851 à Paris, une élève institutrice qui voue une adoration sans borne à Victor Hugo sonne à la porte de son idole. Elle s'appelle Louise Michel et n'est pas encore, loin s'en faut, la passionaria des anarchistes. De leur rencontre tumultueuse naîtra Victorine. Victorine, le grand secret de Louise Michel, mais aussi le trait d'union invisible entre Louise et Victor, qui pendant près de trente ans vont vivre, toujours loin l'un de l'autre, un amour impossible.
Une histoire à côté de l'Histoire, que nous fait vivre Yves Murie, qui a mis ses pas dans ceux de la petite institutrice devenue bientôt la Vierge rouge de la Commune.
Bien qu’il existe très peu de sources historiques sur les signaux routiers, il semblerait que ce soit à Londres, au coin de Bridge Street et de Palace Yard, le 10 décembre 1868, qu’un feu de signalisation ait été utilisé pour la première fois, sous la forme d’une lanterne à gaz pivotante aux couleurs rouge et verte nécessitant la présence d'un agent de police pour le manoeuvrer (ce dernier sera grièvement blessé le 2 janvier 1869). Ce n’est que bien plus tard que les feux, après leur généralisation sont devenus tricolores par l’adjonction d’une phase intermédiaire marquée par la couleur jaune-orange.
Aux États-Unis, les premiers feux - bicolores - seront installés à Cleveland en 1914.
En France, le 5 mai 1923, au croisement des boulevards Saint-Denis et Sébastopol, à Paris, est posé un feu de signalisation. Il est rouge et accompagné d'une sonnerie. C'est le premier en France. Il faudra attendre dix ans avant que n'apparaissent les feux vert et orange.
Dès à présent on peut voir des feux tricolores dont les ampoules sont remplacées par des diodes électroluminescentes et qui affichent le décompte des secondes restantes avant le changement d'état.
Pourquoi les véhicules de pompier sont-ils rouge ?
Certains disent que c'est une analogie avec la couleur du feu que les sapeurs-pompiers combattent. Les premiers engins d'incendie étaient verts foncé et noir parce que c'était la couleur officielle des matériels du bataillon des sapeurs-pompiers de Paris, couleurs réglementaires du corps du génie.
En 1841, un Américain fabriqua pour la ville de New-York la première pompe à vapeur. Rutilante de tous ses cuivres, il trouva que le gris artillerie ferait bien terne et la peignit en rouge sang de bœuf. La couleur plût aux acheteurs.
Le constructeur Anglais Albion étant, au 19 ème siècle, la référence en terme de machines à vapeur, peignit ses machines en rouge vif, couleur plus flatteuse et se mariant mieux à l'éclat du cuivre. La couleur rouge continua donc d'être adoptée.
En 1870 arrivée de la pompe à vapeur à Mulhouse, Bordeaux et Paris. Ce sont les sapeurs-pompiers de Paris qui décident de repeindre leurs matériel de la couleur rouge. Cette décision d'adopter et d'imposer la couleur rouge pour l'ensemble des véhicules d'incendie sera adoptée en 1885.
Les emblèmes de la croix rouge et du croissant rouge sont des symboles universellement reconnus d'aide aux victimes des conflits armés et des catastrophes naturelles. Utilisés depuis le 19e siècle, ces emblèmes ne jouissent malheureusement pas toujours du respect auquel ils ont droit en tant que signes visibles de la stricte neutralité de l'action humanitaire. De plus, certains États trouvent difficile de s'identifier à l'un ou l'autre emblème.
Pour remédier à ces problèmes, les États parties aux Conventions de Genève ont adopté, lors de la Conférence diplomatique de décembre 2005, un troisième Protocole additionnel à ces Conventions, qui porte création du cristal rouge
• Protocole 3 : protocole additionnel aux Conventions de Genève relatif à l'adoption d'un signe distinctif additionnel.
• Commentaire du Protocole additionnel 3:
En juin 2006, la XXIXe Conférence internationale du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge a amendé les Statuts du Mouvement pour y incorporer le nouvel emblème et a officiellement adopté le nom de cristal rouge.
