Créées en 1984 par le ministère de la Culture, les Journées européennes du patrimoine ont lieu chaque année le troisième week-end de septembre. 49 pays participent à cet événément culturel entiérement gratuit.
combinaison du rouge et du bleu. Elle est la couleur complémentaire du jaune.
Symboles : Le divin, le chakra de la couronne.
Le violet est une couleur mal-aimée. Comme le blanc et le noir elle représente le deuil. Associée au chakra de la couronne cette couleur nous relie au divin. Le violet est une très belle couleur méconnue et très peu utilisée dans la vie courante.
Vertus curatives : Equilibre entre le corps physique et le corps astral.
Visualisation : La couleur violette est très particulière. Son pouvoir vibratoire est tel qu'elle s'impose ou qu'elle doit être acceptée. Asseyez-vous et détendez-vous. Imaginez qu'une bulle naît au-dessus de votre tête, remplissez-la de violet. Laissez flotter cette bulle colorée au-dessus de votre tête puis imaginez qu'elle se crève et qu'elle vous remplit de couleur à l'extérieur mais aussi à l'intérieur. Restez un moment dans ce bain de couleur. Celui-ci étant un échange, si vous pouvez, si vous en avez la capacité renvoyez vers le ciel de la couleur violette... Et si vous n'y arrivez pas ce n'est pas grave.
C'est tout un art d'être clown à l'hôpital, cela ne s'improvise pas et pourtant !
Une fois le clown entré dans la chambre avec ses "outils", place à l'improvisation, à la confiance en lui, à l'écoute. Il s'adapte rapidement à l'enfant qu'il a devant lui, aux parents qui sont autour de lui, à l'espace dont il dispose pour agir. Il soupèse la tension, l'humeur, la douleur qui règnent dans la chambre de cet enfant.
Chaque intervention est individualisée, adaptée, réfléchie, juste, pour l'enfant et sa famille.
Le clown n'est pas un thérapeute. C'est un élément, supplémentaire et complémentaire au travail de soins, qui fait le lien avec la vie extérieure de l'hôpital et amène une « fraîcheur » afin de pousser les murs de la chambre. C'est un médiateur ludique entre les enfants, les parents, et les soignants.
Les interventions de clowns sont régulières (une fois par semaine) afin de créer un nouveau « repère temps » et d'accentuer les liens créés avec l'enfant.
Objet : Manière simple et efficace de soigner les brûlures en utilisant le blanc d'œuf.
A votre portée
Cette méthode est enseignée dans un cours de formation de pompiers lorsqu'il se produit une brulure, quelle qu'en soit l'étendue, les premiers secours consistent à placer la zone affectée sous un jet d'eau froide jusqu'à ce que la chaleur diminue et que cessent de brûler les couches de peau ensuite étendre du blanc d'œuf sur cette zone.
Une personne se brûla une grande partie de la main avec de l'eau bouillante. Malgré la douleur elle mit la main sous le robinet d'eau froide puis elle cassa 2 œufs, en sépara les blancs qu'elle battit un peu et y plongea la main.
Sa main était tellement brûlée qu'en y appliquant le blanc d'œuf sa peau sécha et le blanc y forma une pellicule.
Elle apprit par la suite que le blanc d'œuf était un collagène naturelle, et continua pendant au moins une heure à appliquer couche sur couche de blanc sur sa main. L’après midi elle ne sentit plus de douleur et le lendemain il restait à peine une marque rougeâtre à l'endroit de la brûlure. Elle pensait qu'il lui serait resté une horrible cicatrice, mais, à sa grande surprise, au bout de 10 jours il ne restait plus aucune trace de la brûlure, la peau avait même retrouvé sa couleur normale!
La zone brûlée s'était totalement régénérée grâce au collagène existant dans le blanc d'œuf, en réalité un placenta plein de vitamines.
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Chaque rentrée scolaire me chatouille les narines et me taquine la mémoire. J’aime me rappeler l’odeur de mes premières heures d’école primaire...
La veille, ouvrir mallette et plumier afin de tout vérifier une dernière fois et ne pas pouvoir s’empêcher d’y poser le nez. L’odeur du cuir qui vous envahit, celle des bics bleus qui vous secoue, celle de la mine du crayon noir qui vous séduit et celle du pot de colle, à la palette logée dans son encoche, qui vous enivre.
Le lendemain, la boîte à tartines que l’on referme, le Léo que l’on glisse dans une poche du devant, le berlingot calé sur un côté, entre le taille-crayon et la boîte à bons points. Une boîte à cigarillos avec encore au fond quelques miettes de tabac. Une odeur forte qui se mélange si bien au chocolat, au salé du jambon, au cossu des matières et au nouveau des objets.
En classe, un mobilier nettoyé avec soin qui dégage une odeur de savon vert à en faire pâlir de jalousie Monsieur Propre et qui, rapidement, se mêle aux effluves lourds de la cire des bancs et des armoires.
Les petites filles Bébé Cadum, les petits garçons Lux et madame Debruges à l’eau de toilette écœurante. Avant de rentrer, les élèves s’alignaient devant la porte de leur classe respectives. Au signal, nous entrions dans la classe où trônait le vieux poêle qui attendait les premiers frimas pour déguster sa ration de charbon ou de bois.
Et puis, tant attendue, la distribution des cahiers et des livres neufs. J’en garde cette habitude d’en faire tourner les pages sous mes narines avant de les ouvrir, la première fois. Le papier, l’imprimerie, les mots, les phrases, la connaissance, je les retrouve aujourd’hui encore à chaque rentrée des classes quand, au rayon papeterie, entourée de bambins de tous les âges, je me laisse aller à me souvenir.
Les futures centenaires de la maison de retraite St Exupéry
Texte trouvé sur le net, apparament signé par des retraitées. Par contre les "bics bleus" ça me dit rien du tout.