Le signe de la Balance symbolise l'équilibre, la justice, l'équité, le charme, la séduction la générosité, le sens artistique.
Le natif de la Balance est souvent un être sociable, chaleureux. Il est tolérant et saura à la perfection pratiqué le sens du compromis ou des arrangements à l'amiable. Il est en général assez doué pour les finances.
Il devra toutefois se méfier d'un manque de fermeté ou de ne pas trop savoir résister aux tentations quel qu'elles soient.
Le natif de la Balance aime évoluer dans la haute société. Passionné d'art, il apprécie la bonne compagnie, ainsi que toutes les bonnes choses de la vie. Il peut devenir nerveux, voire très coléreux si l'entourage dans lequel il se trouve ne correspond pas à ses goûts esthétiques ou si son environnement n'est pas à son niveau.
Sentimentalement, le natif de la Balance a une perception particulière de l'amour, il rêve de ne faire qu'un seul avec son partenaire. La jalousie et la haine ne sont pas son idéal. Son charme, son intelligence et son désir de plaire en font un amoureux irrésistible. Son désir d'union pourra l'amener à multiplier les rencontres amoureuses.
En 1857, un groupe de jeunes gens s’abandonnant aux joies d’une partouze dans un hôtel particulier sont condamnés pour outrage public à la pudeur, parce qu’un curieux les épiait par le trou de la serrure. En 1893, les étudiants des Quatr’z Arts déclarent aux juges la guerre du nu. Dans les années 1960, les nudistes et les femmes en monokini provoquent des controverses passionnées. Chaque fois les mêmes questions se posent : où finit le public et où commence le privé? Que peut-on montrer, que doit-on cacher?
A travers une enquête qui mêle le droit, l’architecture, la littérature et la psychiatrie, Marcela Iacub raconte l’histoire de la pudeur publique. On y découvre comment le droit a longtemps partagé le monde visible entre licite et illicite, substituant à l’espace réel un espace institutionnel et politique.
Aujourd’hui, ce vieux mot de pudeur a disparu de nos codes pour être remplacé par celui de Sexe. Mais, loin de faire le récit épique d’une liberté durement conquise, Marcela Iacub analyse les transformations des techniques par lesquelles l’Etat s’est donné notre sexualité en spectacle au cours des deux derniers siècles, et a conditionné nos espaces, nos vêtements, nos pratiques et même certaines de nos maladies mentales. Elle invite ainsi à une histoire politique du regard.
La Journée internationale pour la paix, célébrée chaque année le 21 septembre, est un appel mondial pour un cessez-le-feu et pour la non-violence. Cette année, le Secrétaire général fait appel aux gouvernements et aux citoyens du monde pour se concentrer sur le désarmement et la non-prolifération nucléaire.
La Journée internationale pour la paix a été proclamée en 1981 par l'Assemblée générale des Nations Unies afin de « commémorer et renforcer les idéaux de paix parmi toutes les nations et les peuples ». Vingt ans après, l'Assemblée générale a décidé que le 21 septembre serait observé chaque année en tant que « journée mondiale du cessez-le-feu et de la non-violence » et a invité tous les États Membres, les organisations et les citoyens du monde à commémorer cette journée, y compris par des activités éducatives et de sensibilisation du public, et à coopérer avec les Nations Unies en vue d'établir un cessez-le-feu mondial.