Des tombes fleuries pour la Toussaint La visite au cimetière reste le phénomène le plus visible de la Toussaint. Pour la circonstance, entre 20 et 30 millions de plantes et fleurs viendront fleurir les tombes.
Et puis il y à les "oubliés" ou ceux qui n'ont plus de famille.
Demain c'est la fête de nos morts, de tous les morts, pensons-y.
Deux enfants de 8 ans sont en conversation dans la chambre. Le gamin demande à la petite fille :
- Que vas-tu demander pour Noël ?
- Je vais demander une Barbie, et toi?
- Moi, je vais demander un Tampax, répond le garçon.
- C'est quoi un Tampax?
- J'en sais rien...
Mais à la télé, ils disent qu'avec un Tampax, on peut aller à la plage tous les jours, aller à vélo, faire du cheval, danser, aller en boîte, courir, faire un tas de choses sympa, et le meilleur...
Du 23 au 25 octobre, la ville de Saint-Étienne organise sa 24e édition de la Fête du Livre sous le parrainage de l'écrivain franco-marocain Tahar Ben Jelloun.
Elle prendra place dans différents espaces culturels de la cité : Musée de la Mine, Musée d’Art et d’Industrie, Musée d’Art Moderne ou encore ateliers d’artistes en fonction de la programmation culturelle de ces lieux, qui ont conquis un très large public attirant plus de 110 000 visiteurs en 2008.
C'est le signe des fantasmes et des conflits ! mais le scorpion est un être qui sait dominer ses instincts.
Les personnes nées sous le signe du scorpion sont loyales et directes. leurs sentiments et leur passion sont très débordants. et il leur arrive très souvent d'être volontaire. Le scorpion est aussi un idéaliste. il est capable de s'oublier, de se sacrifier pour soutenir une idée qu'il considère juste, et qui donc mérite son attention.
Il possède une forte personnalité, il ne donne jamais à quelqu'un d'autre l'occasion de le tenir sous sa coupe. il peut faire preuve de courage et de fermeté.
Un homme, dans la nacelle d’une montgolfière ne sait plus où il se trouve. Il descend et aperçoit une femme au sol. Il descend encore plus bas et l’interpelle :
Excusez-moi ! Pouvez-vous m’aider ? J’avais promis à un ami de le rencontrer et j’ai déjà une heure de retard car je ne sais plus où je me trouve.
La femme au sol répond :
Vous êtes dans la nacelle d’un ballon à air chaud à environ 10 mètres du sol. Vous vous trouvez exactement à 49°, 28’ et 11’’ Nord et 8°, 25’ et 58’’ Est.
Vous devez être ingénieur» dit l’aérostier.
Je le suis, répond la femme, comment avez-vous deviné ?
Eh bien, dit l’aérostier, tout ce que vous m’avez dit à l’air techniquement parfaitement correct, mais je n’ai pas la moindre idée de ce que je peux faire de vos informations et en fait je ne sais toujours pas où je me trouve. Pour parler ouvertement, vous ne m’avez été d’aucune aide. Pire, vous avez encore retardé mon voyage.
La femme lui répond : Vous devez être un chef.
Oui,répond l’homme avec fierté, mais comment avez-vous deviné ?
Eh bien, dit la femme, vous ne savez ni où vous êtes, ni où vous allez. Vous avez atteint votre position actuelle en chauffant et en brassant une énorme quantité d’air. Vous avez fait une promesse sans avoir la moindre idée comment vous pourriez la tenir et vous comptez maintenant sur les gens situés en dessous de vous pour qu’ils résolvent votre problème. Votre situation avant et après notre rencontre n’a pas changé, mais comme par hasard, c’est moi maintenant qui à vos yeux en suis responsable !
Premier programme pour les jeunes en France, Salut les Copains a débuté le 19 octobre 1959 sur Europe n°1, comme on disait alors, pour neuf ans de succès, jusqu’à l’été 1968. La sortie de livres et de disques fêtent ce demi-siècle.
Salut les copains est née sous l’impulsion de Lucien Morisse, emblématique directeur d’Europe n°1. Daniel Filipacchi et Franck Ténot, jeunes journalistes passionnés de jazz et de rock, décident six mois après l’arrivée au pouvoir de De Gaulle de bouleverser le paysage radiophonique. Leur émission ne s’adresse qu’aux jeunes en diffusant les premiers tubes rock et yé-yé, chaque jour en fin d’après-midi, pendant deux heures entrecoupées d’interviewes.
Le succès est immédiat : la génération transistor, en quête de liberté et d’idoles, se délecte de ce ton révolutionnaire qui leur ressemble.
Le tutoiement est de rigueur à l’antenne, et on ne se dit pas « bonjour » mais « salut ».