J’ouvre les volets
Et tu es la brume matinale,
Tout semble silencieux et secret
Derrière toi qui froidement t’étale,
Comme un mur si parfait
Un mur tout en cristal.
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Puis lentement tu disparais
Nous laissant revoir les pétales
Des dernières fleurs la tout près,
Les derniers bouquets automnals.
(vag)