La vie de la plupart des hommes est un chemin mort et ne mène à rien.
Mais d'autres savent , dès l'enfance, qu'ils vont vers la mer inconnue.
Déjà l'amertume du vent les étonne, déjà le goût du sel est sur leurs lèvres... Il leur reste de s'y abîmer ou de revenir sur leurs pas.
F. Mauriac (Les chemins de la mer)